Rencontre dédiée au plaisir
Jamais
ça ne vous arrive d'avoir la chatte trempée par la
simple idée de raconter un truc très intime, et par
l'idée que la lecture du récit puisse être
excitante pour n'importe quel passant.
Pour moi, c'est le cas,
maintenant ; j'ai envie de raconter ce que j'ai fait la nuit
dernière.
Cet article va griller ce blog, mais j'ai
envie de l'écrire.
- CONTENU RESERVE AUX ADULTES AVERTIS -
Une
heure du matin, je reçois un sms de mon fuck-friend, qui me
dit qu'il est en ville, et qu'il peut passer chez moi, si j'ai envie
qu'on se voie.
J'accepte immédiatement ; ça n'est
pas mon genre d'hésiter pendant des heures avant d'accepter
une rencontre dédiée au plaisir.
Je file sous la
douche, où je me remémore notre conversation de la
veille. Nous avons parlé de sodomie. Il rêve que je lui
offre mon petit trou. J'étais très réticente :
une de mes amies, avec son copain peu consciencieux, s'est retrouvée
malade d'une infection urinaire, après une tentative avortée
de sodomie. Il a promis qu'il ferait attention, si jamais ça
se présentait. Je me savonne intégralement, me rase la
chatte, sur le devant, où les poils repoussent toujours plus
vite. Il a plus de plaisir à me la lécher quand elle
est imberbe, et moi, justement, j'aime sentir sur cette peau nue son
visage à la barbe de trois jours.
Pour tenter de calmer
mes réticences, il a voulu me convaincre, hier soir, de tout
le plaisir qu'une femme pouvait prendre par cette voie. Je l'ai
stoppé : je n'aime pas quand il veut faire le professeur avec
moi. Je lui ai dit, plutôt sèchement, que je n'avais pas
attendu de le connaître pour savoir que je possédais un
trou du cul, et qu'avec l'objet adéquat, n'importe qui peut
connaître le plaisir particulier de se le faire pénétrer.
Mais alors, veut-il savoir, pourquoi je ne veux pas de sa queue dans
mon cul ? Je lui explique que moi, je sais aller doucement, écouter
mon corps et me faire du bien, alors que j'ai peur qu'il me fasse
mal. Je ne lui ai bien sûr pas caché que cependant,
l'idée m'excitait terriblement.
Sous la douche, je
m'enfonce un doigt savonneux dans l'anus, j'essaie de le rendre aussi
propre que possible, puisque j'espère, tout en le redoutant,
qu'il aura encore envie, devant moi cette fois, et non plus protégé
derrière son écran, de prendre ce petit trou que je ne
lui offrirais pas, mais laisserais à sa disposition s'il le
veut.
Je suis à peine enroulée dans ma serviette
que mon portable sonne : il est devant la porte, il m'attend. Un peu
de parfum, je me rhabille en vitesse, et je vais lui ouvrir.
Comme
à chaque fois qu'il débarque, nous sommes maladroits,
un peu empotés. L'attirance est là, bien sûr,
mais il manque l'amour qui justifierait que nous nous sautions dessus
pour un assaut de tendresse.
Il enlève ses chaussures, sa
veste, son pull, s'assied sur mon lit et me dit : "Allez,
viens!". J'obtempère ; je me sens déjà
toute mouillée, même sans me toucher, il me fait un
effet formidable.
On s'embrasse, il me caresse les fesses, je
frotte sa queue au travers de son pantalon, elle est déjà
toute dure. Il souffle : "A chaque fois que je pense que je vais
te baiser, je bande déjà.". Je lui réponds,
enjôleuse : "Moi je suis trempée...". Il
soulève ma jupe pour vérifier cette information
capitale, le résultat semble bien le satisfaire.
- Un peu
de suite dans les idées, peut-être... me suggère-t-il.
Je déboutonne son pantalon, et extrait sa bite de son
boxer, je commence à le branler tandis qu'il s'extirpe de son
pantalon et de ses sous-vêtements. Maintenant qu'il est à
l'aise, j'ai envie de lui donner la meilleure pipe possible, un
effort que je n'ai jamais consentit. On dirait bien que ça lui
plaît, tellement d'ailleurs, qu'alors que je m'étrangle
presque avec son engin, il en néglige de me caresser en
retour.
J'arrête de le sucer : "C'est pas un peu à
toi de me faire plaisir ?"
- Tu veux quoi ?
- Occupe-toi
de ma chatte, elle n'attend que ça.
- 69 ?
- Oui !
J'enlève ma culotte, le chevauche le dos tourné,
difficile de faire autrement d'ailleurs, et ravale sa queue. Il
relève ma jupe, me lèche très brièvement,
puis me doigte aussi peu la chatte ; il ne fait pas comme d'habitude.
L'un de ses doigts, quittant ma chatte, vient visiter mon anus. Qui
ne dit rien, consent. Je n'ai pas envie de m'y opposer, ça me
fait du bien, ça m'excite. On peut tenter l'expérience.
Il continue longuement de me doigter le cul, me demande parfois si
c'est bon, je pense que mes gémissements l'en convainquent.
-
Je peux te pénétrer le cul ?
- Si ça
passe...
- Je serais étonné que ça ne rentre
pas...
Il me tent une capote, je la lui enfile. Il me demande de
me mettre à quatre pattes et malgré mon excitation, et
mon envie de cette pénétration, j'ai peur. Je lui
demande :
- Si j'ai mal, tu me promets d'arrêter, hein ?
La position finalement ne le satisfait pas ; il se rallonge, et
me demande de m'asseoir sur sa queue. Je lui tourne le dos.
Je
commence ma descente, doucement, mon anus s'écarte, j'ai un
peu mal, mais d'une douleur délicieuse, une légère
sensation d'humiliation, un peu de fierté d'oser dépasser
ce qui est plus ou moins un tabou, la douleur obligatoire pour
connaître le plaisir d'une queue franchissant ce passage
étroit. Son gland tout entier enfin en moi, j'ai franchi une
étape, j'ai parfaitement senti passer ce petit repli de peau,
en une douleur qui m'arracha un cri. Je lui ai dit que j'avais mal.
Et, bien qu'étant la première personne qu'il encule,
s'étant sûrement un peu renseigné, il sut me dire
: "Ne bouge plus, ça va passer.". Ce passage
douloureux, lorsque je pratique la sodomie seule, je le dépasse
longuement, allongée, lascive, tous les muscles au repos, et
je savoure lentement le passage de la douleur au plaisir, dans un
état second. A cet instant, sa queue partiellement en moi,
j'ai envie de tout lâcher, mais je ne le peux pas, la position
ne me le permet pas. La douleur passée, je continue ma
descente, jusqu'au prochain palier. Son excitation le fait donner des
coups de reins, il veut m'enfoncer d'avantage.
Mon plaisir est
sans précédent, ses va-et-vient m'arrachent tantôt
soupirs, cris ou gémissements. Pour tenter d'accéder à
l'orgasme, différent, mais tellement facile avec le cul, je
tripote mon clitoris, mais ça ne fonctionne pas. Je ne suis
probablement pas assez détendue.
La douleur revient.
-
J'ai trop mal, là.
- Alors on arrête.
Je remonte
doucement, puis il retire le préservatif, et va se laver les
mains. Son sexe, que je regarde tandis qu'il revient de la salle de
bain, n'a rien perdu de sa vigueur. Il se rassied sur le lit, me
demande : "Tu veux que je te prenne la chatte ? Montre-moi que
tu as envie !" Je retire mon tee-shirt et mon soutif qu'il
s'était contenté de dégrafer seulement. Je
presse mes seins contre son visage, il les prends à pleines
mains, les embrasse, et me suce les tétons jusqu'à ce
que je n'en puisse plus. D'autorité, j'attrape un nouveau
préservatif, qu'hâtive je déroule tant bien que
mal le long de son mât. Il s'allonge sur le dos, je m'allonge
sur lui tout en glissant sa queue dans ma chatte dégoulinante.
Le plaisir que j'éprouve en cet instant doit se ressentir dans
toute la pièce.
- T'aimes ça, hein ? lance-t-il.
Evidement ; il faudrait être vraiment con pour en douter. C'est
dans la simplicité de cette position que nous trouvons un
compromis entre ce qui lui et ce qui me fait plaisir, ce n'est pas la
plus agréable, mais elle nous permet d'être en harmonie.
J'aime contrôler le mouvement, casser le rythme parfois, et
surtout sentir le plaisir que je lui procure. Il me dit des
gentillesses dont je n'ai cure : "J'aime trop te faire l'amour
!" "C'est si bon avec toi !". Je ne comprends pas
pourquoi il persiste à appeler ça "faire l'amour",
alors qu'il est bien clair entre nous qu'il n'y a rien, comme en
témoignent d'ailleurs les blancs dans nos conversations et
leur triste longueur. Mais nous sommes compatibles sexuellement, et
l'absence de moitié à nos côtés ne peut
que nous encourager à en profiter. Après quelques
caresses pour mes seins, dont il fait encore l'éloge, je ne
peux m'empêcher de lui demander ce qu'il leur trouve de si
sublime. Ils sont ronds, fermes, d'un volume parfait... me dit-il.
Il
me serre fort, ses bras qui m'entourent semblent ne plus jamais
vouloir me quitter. Douce sensation de sécurité,
l'instant est court, mais a un goût d'éternel.
-
C'est fou ce que tu mouilles ! remarque-t-il en aiguillant vers mon
vagin sa bite qui s'en était échappée.
- Je
ne fais pas exprès.
- C'est très excitant.
Plusieurs fois j'approche de l'orgasme qui pourtant ne se
déclenche jamais. Je sais qu'il aimerait bien me voir jouir,
mais je n'y arrive pas. Je prends plaisir, mais je ne jouis pas. Cela
fait un an qu'épisodiquement nous couchons ensemble, je me
sens à l'aise avec lui, mais il faudrait autre chose. Des
sentiments, peut-être ?