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"J'aimerais bien savoir à quoi rêve qui ne rêve jamais..."

4 septembre 2005

Rencontre dédiée au plaisir

Jamais ça ne vous arrive d'avoir la chatte trempée par la simple idée de raconter un truc très intime, et par l'idée que la lecture du récit puisse être excitante pour n'importe quel passant.
Pour moi, c'est le cas, maintenant ; j'ai envie de raconter ce que j'ai fait la nuit dernière.

Cet article va griller ce blog, mais j'ai envie de l'écrire.

- CONTENU RESERVE AUX ADULTES AVERTIS -


Une heure du matin, je reçois un sms de mon fuck-friend, qui me dit qu'il est en ville, et qu'il peut passer chez moi, si j'ai envie qu'on se voie.
J'accepte immédiatement ; ça n'est pas mon genre d'hésiter pendant des heures avant d'accepter une rencontre dédiée au plaisir.
Je file sous la douche, où je me remémore notre conversation de la veille. Nous avons parlé de sodomie. Il rêve que je lui offre mon petit trou. J'étais très réticente : une de mes amies, avec son copain peu consciencieux, s'est retrouvée malade d'une infection urinaire, après une tentative avortée de sodomie. Il a promis qu'il ferait attention, si jamais ça se présentait. Je me savonne intégralement, me rase la chatte, sur le devant, où les poils repoussent toujours plus vite. Il a plus de plaisir à me la lécher quand elle est imberbe, et moi, justement, j'aime sentir sur cette peau nue son visage à la barbe de trois jours.
Pour tenter de calmer mes réticences, il a voulu me convaincre, hier soir, de tout le plaisir qu'une femme pouvait prendre par cette voie. Je l'ai stoppé : je n'aime pas quand il veut faire le professeur avec moi. Je lui ai dit, plutôt sèchement, que je n'avais pas attendu de le connaître pour savoir que je possédais un trou du cul, et qu'avec l'objet adéquat, n'importe qui peut connaître le plaisir particulier de se le faire pénétrer. Mais alors, veut-il savoir, pourquoi je ne veux pas de sa queue dans mon cul ? Je lui explique que moi, je sais aller doucement, écouter mon corps et me faire du bien, alors que j'ai peur qu'il me fasse mal. Je ne lui ai bien sûr pas caché que cependant, l'idée m'excitait terriblement.
Sous la douche, je m'enfonce un doigt savonneux dans l'anus, j'essaie de le rendre aussi propre que possible, puisque j'espère, tout en le redoutant, qu'il aura encore envie, devant moi cette fois, et non plus protégé derrière son écran, de prendre ce petit trou que je ne lui offrirais pas, mais laisserais à sa disposition s'il le veut.
Je suis à peine enroulée dans ma serviette que mon portable sonne : il est devant la porte, il m'attend. Un peu de parfum, je me rhabille en vitesse, et je vais lui ouvrir.
Comme à chaque fois qu'il débarque, nous sommes maladroits, un peu empotés. L'attirance est là, bien sûr, mais il manque l'amour qui justifierait que nous nous sautions dessus pour un assaut de tendresse.
Il enlève ses chaussures, sa veste, son pull, s'assied sur mon lit et me dit : "Allez, viens!". J'obtempère ; je me sens déjà toute mouillée, même sans me toucher, il me fait un effet formidable.
On s'embrasse, il me caresse les fesses, je frotte sa queue au travers de son pantalon, elle est déjà toute dure. Il souffle : "A chaque fois que je pense que je vais te baiser, je bande déjà.". Je lui réponds, enjôleuse : "Moi je suis trempée...". Il soulève ma jupe pour vérifier cette information capitale, le résultat semble bien le satisfaire.
- Un peu de suite dans les idées, peut-être... me suggère-t-il.
Je déboutonne son pantalon, et extrait sa bite de son boxer, je commence à le branler tandis qu'il s'extirpe de son pantalon et de ses sous-vêtements. Maintenant qu'il est à l'aise, j'ai envie de lui donner la meilleure pipe possible, un effort que je n'ai jamais consentit. On dirait bien que ça lui plaît, tellement d'ailleurs, qu'alors que je m'étrangle presque avec son engin, il en néglige de me caresser en retour.
J'arrête de le sucer : "C'est pas un peu à toi de me faire plaisir ?"
- Tu veux quoi ?
- Occupe-toi de ma chatte, elle n'attend que ça.
- 69 ?
- Oui !
J'enlève ma culotte, le chevauche le dos tourné, difficile de faire autrement d'ailleurs, et ravale sa queue. Il relève ma jupe, me lèche très brièvement, puis me doigte aussi peu la chatte ; il ne fait pas comme d'habitude. L'un de ses doigts, quittant ma chatte, vient visiter mon anus. Qui ne dit rien, consent. Je n'ai pas envie de m'y opposer, ça me fait du bien, ça m'excite. On peut tenter l'expérience. Il continue longuement de me doigter le cul, me demande parfois si c'est bon, je pense que mes gémissements l'en convainquent.
- Je peux te pénétrer le cul ?
- Si ça passe...
- Je serais étonné que ça ne rentre pas...
Il me tent une capote, je la lui enfile. Il me demande de me mettre à quatre pattes et malgré mon excitation, et mon envie de cette pénétration, j'ai peur. Je lui demande :
- Si j'ai mal, tu me promets d'arrêter, hein ?
La position finalement ne le satisfait pas ; il se rallonge, et me demande de m'asseoir sur sa queue. Je lui tourne le dos.
Je commence ma descente, doucement, mon anus s'écarte, j'ai un peu mal, mais d'une douleur délicieuse, une légère sensation d'humiliation, un peu de fierté d'oser dépasser ce qui est plus ou moins un tabou, la douleur obligatoire pour connaître le plaisir d'une queue franchissant ce passage étroit. Son gland tout entier enfin en moi, j'ai franchi une étape, j'ai parfaitement senti passer ce petit repli de peau, en une douleur qui m'arracha un cri. Je lui ai dit que j'avais mal. Et, bien qu'étant la première personne qu'il encule, s'étant sûrement un peu renseigné, il sut me dire : "Ne bouge plus, ça va passer.". Ce passage douloureux, lorsque je pratique la sodomie seule, je le dépasse longuement, allongée, lascive, tous les muscles au repos, et je savoure lentement le passage de la douleur au plaisir, dans un état second. A cet instant, sa queue partiellement en moi, j'ai envie de tout lâcher, mais je ne le peux pas, la position ne me le permet pas. La douleur passée, je continue ma descente, jusqu'au prochain palier. Son excitation le fait donner des coups de reins, il veut m'enfoncer d'avantage.
Mon plaisir est sans précédent, ses va-et-vient m'arrachent tantôt soupirs, cris ou gémissements. Pour tenter d'accéder à l'orgasme, différent, mais tellement facile avec le cul, je tripote mon clitoris, mais ça ne fonctionne pas. Je ne suis probablement pas assez détendue.
La douleur revient.
- J'ai trop mal, là.
- Alors on arrête.
Je remonte doucement, puis il retire le préservatif, et va se laver les mains. Son sexe, que je regarde tandis qu'il revient de la salle de bain, n'a rien perdu de sa vigueur. Il se rassied sur le lit, me demande : "Tu veux que je te prenne la chatte ? Montre-moi que tu as envie !" Je retire mon tee-shirt et mon soutif qu'il s'était contenté de dégrafer seulement. Je presse mes seins contre son visage, il les prends à pleines mains, les embrasse, et me suce les tétons jusqu'à ce que je n'en puisse plus. D'autorité, j'attrape un nouveau préservatif, qu'hâtive je déroule tant bien que mal le long de son mât. Il s'allonge sur le dos, je m'allonge sur lui tout en glissant sa queue dans ma chatte dégoulinante. Le plaisir que j'éprouve en cet instant doit se ressentir dans toute la pièce.
- T'aimes ça, hein ? lance-t-il. Evidement ; il faudrait être vraiment con pour en douter. C'est dans la simplicité de cette position que nous trouvons un compromis entre ce qui lui et ce qui me fait plaisir, ce n'est pas la plus agréable, mais elle nous permet d'être en harmonie. J'aime contrôler le mouvement, casser le rythme parfois, et surtout sentir le plaisir que je lui procure. Il me dit des gentillesses dont je n'ai cure : "J'aime trop te faire l'amour !" "C'est si bon avec toi !". Je ne comprends pas pourquoi il persiste à appeler ça "faire l'amour", alors qu'il est bien clair entre nous qu'il n'y a rien, comme en témoignent d'ailleurs les blancs dans nos conversations et leur triste longueur. Mais nous sommes compatibles sexuellement, et l'absence de moitié à nos côtés ne peut que nous encourager à en profiter. Après quelques caresses pour mes seins, dont il fait encore l'éloge, je ne peux m'empêcher de lui demander ce qu'il leur trouve de si sublime. Ils sont ronds, fermes, d'un volume parfait... me dit-il.
Il me serre fort, ses bras qui m'entourent semblent ne plus jamais vouloir me quitter. Douce sensation de sécurité, l'instant est court, mais a un goût d'éternel.
- C'est fou ce que tu mouilles ! remarque-t-il en aiguillant vers mon vagin sa bite qui s'en était échappée.
- Je ne fais pas exprès.
- C'est très excitant.
Plusieurs fois j'approche de l'orgasme qui pourtant ne se déclenche jamais. Je sais qu'il aimerait bien me voir jouir, mais je n'y arrive pas. Je prends plaisir, mais je ne jouis pas. Cela fait un an qu'épisodiquement nous couchons ensemble, je me sens à l'aise avec lui, mais il faudrait autre chose. Des sentiments, peut-être ?

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27 août 2005

Post-scriptum

Qui suis-je ?
Une fille de 19 ans, étudiante à ses heures perdues, mais actuellement en vacances jusqu'à la fin octobre.
Un peu solitaire, mais que la solitude ennuie très vite.
Pourquoi ce pseudo ? En "hommage" à la chanson du même nom de Tarmac, que j'aime beaucoup. Sinon, c'est vrai, pourquoi ce pseudo...
Pourquoi ce blog ? Parce que j'ai des petites choses à raconter, mais personne qui ne veut bien les entendre.
Il paraît que je ne sais pas vraiment faire la différence entre les choses privées, et les racontables. Un  peu comme un manque de savoir vivre.
C'est plutôt une immaturité pour moi, mais je n'ai pas forcément envie de grandir...
Je ne suis pas encore convaincue par ma mise en page, mais je crois que ça fera l'affaire pour l'instant. Comme je passe deux examens importants pour la suite de mes études dans quelques jours, je vais commencer par me concentrer là-dessus !

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